Une « Hestejada de las arts » hivernale ! Étonnant non ?
D’ici… d’en Uzeste Musical, l’art à vivre ne gèle pas, ne se tait pas, ne cède pas, il s’invente, incite invite à six jours et nuits de poïélique culturelle à l’air libre.
Manifestivité poïélitique d’occitanie océanique nouvelle,
la petite sœur hivernale de sa grande aînée estivale du mois d’août.
Imaginée, jazzconjuguée par ses œuvriers même
artistes techniciens d’ici d’en et d’à côté…
et organisée par l’association Uzeste Musical en Cie Lubat.
Art de la diffusion de l’art… Transformation du souci en souci de la transformation et non pas transformation de six sons en souci de six sous de saucisson.
Démonétarisation désindustrialisation de l’éducation de la santé de l’air de l’eau de la recherche de la création de l’imagination de l’improvisation de la relation du divertissement.
« Capitulalisme immondialisé » le méga productivisme ça suffit ! Comment éviter de devenir ce contre quoi on résiste, ce contre qui on combat ?
Entre sports d’hiver et chaleurs de l’été, la vie continue à la campagne… la nature change ses couleurs, désaxe ses lumières; les sons s’échappent d’eux-mêmes, les grues chantent dans le ciel, les palombes repassent toujours, et la vie d’ici n’en finit pas de commencer ; la ruralité ne s’en laisse pas compter, elle résiste aux illusions capitales, à ses nostalgies médiévales, invente ses solutions, analyse ses difficultés. Au sein des forces vives locales, plein cœur de la mêlée, la création artistique y joue son rôle de cultivatrice de cultures, productrice d’imaginaires, émettrice d’inventions, éleveuse de sons d’images et d’idées,
Pour en finir avec une année sombre,
retrouver le contre-temps des petites lumières..
Vite, vivre à vif à nous inventer encore et encore, tous ensemble, tous entre tous.