Lubat, on ne le refera pas. On le prend, on l’écoute avec ses mille mots et notes d’alchimiste iconoclaste. Qu’il parle du jazz qui tape, des phrases qui cognent, de politique ou de poétique, des ses fantasmes ou désirs d’improvisation à tout va. De Paris à Uzeste il scatte sur tout à propos de rien. Bernard Lubat ne boit plus, ne fume plus, mais ne baisse pas la garde. Il avoue son plaisir à se resservir des baguettes. Dans un restaurant gascon (évidemment) de la capitale au nom évocateur, la Cocotte, il jouit plus que jamais d’être un… bâtard de jazz.
Par Robert Latxague, pour Jazz magazine, Avril 2011

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